Au tout début de la crise du quartz, Audemars Piguet fait sensation en lançant la Royal Oak. Mais d’où provient la demande pour cette montre sportive haut-de-gamme en acier façonnée à la main ? Qui l’a créée et quels ont été les défis à relever ? Quelles étaient les caractéristiques les plus emblématiques de ce garde-temps avant-gardiste qui a révolutionné les codes de la Haute Horlogerie lors de sa présentation à la foire de Bâle en 1972 ?
À l’occasion de son 50e anniversaire, ce nouvel épisode des AP Talks retrace la genèse de cette montre d’exception qui marquera son temps et s’érigera en icône.
« Perçue comme étant en rupture avec les codes de la Haute Horlogerie, elle est néanmoins en parfaite cohérence avec nos valeurs. » Olivier Audemars, vice-président du Conseil d’administration.
Voyage dans le temps, à travers l’évolution de la Royal Oak
Au cours des 50 années qui ont suivi sa création, cette montre en acier dotée d’une boîte en forme de tonneau, d’une lunette octogonale et d’un bracelet intégré inspirera une remarquable collection comptant plus de 500 références. Le modèle pour dames, conçu par Jacqueline Dimier en 1976, ouvre la voie aux nombreuses variations qui contribueront à faire de cette iconoclaste une icône culturelle au sein, et au-delà, de l’industrie horlogère.
« Nul n’aurait pu prédire le destin que rencontrerait cette montre aujourd’hui. » François-Henry Bennahmias, CEO d’Audemars Piguet.
Source, vidéo et Photos © Audemars Piguet.