Restaurant hybride, Poissonchat dévoile deux facettes de sa personnalité.
Côté jour, il met en lumière le quartier d’afaires de Vaise, dans le 9eme arrondissement lyonnais, en proposant une cuisine Asian fusion dans un cadre design & contemporain. Une fois la nuit venue, artistes et dj prennent les commandes de l’établissement pour offrir à Lyon une expérience inédite, mixant cuisine de caractère de haute volée et ambiance festive à souhait.
Tacos, ceviche et viandes grillées composent une carte aux saveurs éclectiques, à l’image de la double nationalité du chef Tomas Bares, ayant aussi bien exercé son talent culinaire en Argentine qu’en Slovénie.
Le bar à sushis, pouvant accueillir 8 convives, devient le terrain de jeu du chef Bounphanh Soukkasene, qui propose chaque soir aux clients les plus curieux une expérience Omakase durant laquelle le maître sushi surprend ses convives par sa sélection de mets à déguster.
La salle, toute en rondeurs, accueille jusqu’à 80 couverts. Baignée de lumière naturelle à l’heure du déjeuner, elle se teinte de refets chauds et orangés lorsqu’elle enfle sa tenue de soirée. Le mobilier, réalisé sur-mesure, réchaufe l’atmosphère de ses couleurs vives et acidulées. Un travail d’orfèvre signé Régis Botta, architecte d’intérieur qui impose sa griffe sur Poissonchat.
La carte
Entre Amérique latine et Japon, la carte de Poissonchat ose le pari de la fusion et des accords savoureusement atypiques. Viandes et poissons passent sur le grill du chef Tomas Bares, maîtrisant comme personne l’art de la cuisson au four à charbon, qui devient ici l’élément central de la cuisine. Élégamment sourcés, le Burger de Wagyu, les côtelettes d’agneau, ainsi que le faux filet de bœuf découpé sur son os entier, façon Tomahawk, sont cuits à la perfection. Côté poisson, le black cod révèle une saveur inédite en étant mariné dans le miso. À mi-chemin entre le ceviche péruvien et le sashimi japonais, le chef propose un tiradito de saumon sublimé à l’huile de trufe, ainsi qu’un carpaccio de bar. Une croisière des saveurs qui se termine en douceur au pays des plaisirs sucrés, lorsque gyoza de pomme et mocchis glacés viennent conclure ce repas en beauté.
Le bar à sushis
Ayant aiguisé sa lame au restaurant Megumi, à Saint Barthélémy ainsi qu’au Nammos 1850 de Courchevel, le sushi chef Bounphanh Soukkasene élabore pour Poissonchat des compositions inédites, dont 4 Uramakis aussi surprenants qu’exquis, à l’instar de celui au tartare de crevette avec une crème de coco au basilic et son concombre croquant, agrémenté en top d’un nappage d’avocat, mayonnaise japonaise et flament de piment togarashi. Proposant aussi une offre végétale, le chef imagine un Osomàki de feuilles de soja, accompagné d’asperge, de mangue et surmonté de kimchi et de chips de carotte noire.
Une dextérité culinaire à retrouver chaque soir au bar à sushis derrière lequel Bounphanh Soukkasene prend place, offrant un spectacle de découpe et de précision aux 8 convives désireux prendre part à l’expérience Omakase.
Poissonchat 55 ter Avenue René Cassin, 69009 Lyon
Ouvert de midi à 14h30 et de 19h30 à 1h – Fermé le lundi et dimanche.
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Source CP et visuels © Poissonchat – GuillaumeGrasset et Salome Rateau.